Faut-il traduire ses CGV en anglais ?

Que ce soit pour protéger votre entreprise, pour renforcer la satisfaction de vos clients ou pour rassurer les prospects, traduire ses conditions générales de vente en anglais peut s’avérer particulièrement utile si vous vous adressez à une clientèle multilingue.

 

Les CGV : qu’est-ce que c’est ?

Les CGV (conditions générales de vente) sont un document contractuel qui est réalisé par un fournisseur, pour un utilisateur. Les CGV encadrent ainsi la vente de produits ou de prestations de service en ligne : elles clarifient la future transaction et permettent de définir les limites de la responsabilité en cas de litige.

Ce document liste l’ensemble des informations que le client doit connaître avant de finaliser son achat. Les CGV figurent sur une page dédiée du site internet, que l’on retrouve le plus souvent en bas de page.

Les CGV sont obligatoires pour certaines activités, et notamment pour les entreprises B2C qui vendent des produits. Le non-respect de cette obligation peut être sanctionné par une amende de 15  000 € pour les personnes physiques et de 75 000 € pour les personnes morales.

Les clauses des CGV sont rédigées librement par le fournisseur, mais doivent toutefois répondre à certaines normes spécifiques. Elles doivent notamment mentionner les conditions de la vente, les modalités de livraison, les barèmes tarifaires, les conditions de règlement…

 

Pourquoi traduire ses CGV en anglais ?

La traduction des CGV en anglais s’avère incontournable si l'entreprise s’adresse à une clientèle internationale, car l’anglais est en effet la langue de référence dans le monde des affaires.

Cela n’est pas obligatoire, mais il y a toutefois certains risques à ne pas traduire ce document, qui se doit d’être communiqué au consommateur « de manière claire et compréhensible ». Les CGV sont en effet essentielles pour assurer le bon déroulement d’une transaction. Traduire ses CGV en anglais va ainsi permettre de protéger l’entreprise et le consommateur, d’informer et de rassurer le prospect, et d’éviter toute ambiguïté, ce qui va contribuer à renforcer la satisfaction client. Par ailleurs, en cas de contentieux, des CGV non traduites pourraient inciter le client à contester son consentement.

 

Comment traduire ses CGV en anglais ?

Vous l’avez compris, traduire ses CGV en anglais présente un certain nombre d’enjeux de taille. De plus, compte tenu de la valeur juridique de ce document, et de sa technicité, il est impératif de le faire traduire par un traducteur juridique spécialisé, de langue maternelle anglaise, et originaire du pays ciblé par la traduction. Ce dernier point est important car il existe un grand nombre de différences entre l’anglais britannique et l’anglais américain, que ce soit au niveau lexical, grammatical, orthographique…

Seul un traducteur spécialisé dans la traduction de documents juridiques, et qui possède à ce titre des connaissances solides en droit, sera en mesure de garantir une traduction de qualité, pour des CGV claires, explicites et précises. Cela est crucial pour éviter de s’exposer à des litiges à cause d’une erreur d’interprétation ou d’une mauvaise compréhension du client liée à une traduction bancale.

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FAQ sur la traduction de CGV en anglais

Pour traduire ses CGV en anglais de façon conforme et avec la plus grande exactitude, il faudra faire appel à un traducteur juridique, de langue maternelle anglaise, et natif du pays concerné par la traduction.

L’anglais est la langue de référence universelle. Traduire ses CGV en anglais permet donc de les communiquer auprès d’un très large public. Toutefois, il peut aussi s’avérer intéressant, si vous vous adressez à une audience internationale, de traduire également vos CGV dans la langue maternelle de votre clientèle.

Traduire ses CGV en anglais n’est pas obligatoire, mais cela est toutefois vivement conseillé pour rassurer le client et pour se protéger en cas d’éventuels contentieux.